🌀 Le système 01S_2002 a été baptisé le 06.09.2002 à 12 UTC (non baptisé par un prénom), il a atteint le stade de Tempête tropicale modérée.
🌀 Le vent moyen en mer (sur 1 min) a vraisemblablement atteint 74 km/h avec des rafales à 92 km/h.
Le 07 septembre 2002 à 07:05 UTC.
Les différents stades atteints par 01S_2002
Stades atteints
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Date de l'évolution
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Zone perturbée
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05.09.2002 à 12 UTC
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Perturbation tropicale
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06.09.2002 à 06 UTC
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Dépression tropicale
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06.09.2002 à 18 UTC
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Tempête tropicale modérée
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07.09.2002 à 00 UTC
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Dépression tropicale
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07.09.2002 à 18 UTC
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Perturbation tropicale
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08.09.2002 à 06 UTC
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Dépression se comblant
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08.09.2002 à 18 UTC
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Intensité maximale, selon les agences Météo-France et JTWC
Valeurs maximales atteintes par 01S_2002, le 06 septembre 2002 à 12 UTC
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Intensité sur l'échelle de Dvorak (Ci) | 2,5+/8,0 |
Intensité sur la classification Australienne | 1/5 |
Pression estimée au centre | 1003 mb |
Vent moyen sur 10 mn ( donnée Météo-France ) | 65 Km/h, 35 Kt |
Vent moyen sur 1 mn ( donnée Météo-France ) | 74 Km/h, 40 Kt |
Vent moyen sur 1 mn ( donnée JTWC ) | 65 Km/h, 35 Kt |
Vent moyen sur 1 mn (intensité atteinte la plus probable) | 74 Km/h, 40 Kt |
Rafales | 92 Km/h, 50 Kt |
Influence du système sur une terre
Conclusion
Ce système atypique fut repéré par 3°5 S et 62°9 E le 05 septembre 2002.
Son pic d'intensité analysé d'abord au stade de dépression tropicale fut atteint dans son approche de Praslin au Nord de 05°S. (Cf trajectoire)
Le JTWC et le CMRS / MFR étaient en accord en temps réel.
Mais le CMRS/MFR a justement réhaussé l'intensité estimée au stade de tempête tropicale modérée après analyse des données revenues de Praslin.
Il s'agit donc d'un système non baptisé en temps réel mais comptabilisé comme tempête tropicale modérée dans les archives de MFR.
Ce système ravagea la fameuse Vallée de Mai (dans l'île de Praslin aux Seychelles, est une réserve inscrite au patrimoine mondial de l'humanité par l'UNESCO en 1983 en raison de sa faune et de sa flore exceptionnelles) où les rafales ont dépassé 110 km/h.
Commentaire Patrick HOAREAU